« Lui qui n’a pas épargné son propre Fils mais l’a donné pour nous tous, comment ne nous accorderait-il pas aussi tout avec lui ? » (Romains 8.32)
Dieu ôte toute douleur due aux puissances destructrices de cette vie. Vous devez y croire ou vous ne pourrez pas vous épanouir, ou peut-être même survivre, en tant que chrétien, aux pressions et aux tentations de la vie moderne.
Il y a tant de souffrances, tant de revers et de découragements, tant de controverses et de pressions. Je ne sais pas vers qui je me tournerais si je ne croyais pas que Dieu tout-puissant prend tous les revers, tous les découragements, toutes les controverses, toutes les pressions et toutes les douleurs, et qu’il les dépouille de leur pouvoir destructeur et les fait concourir à l’élargissement de ma joie en Dieu.
Écoutez les paroles étonnantes de Paul dans 1 Corinthiens 3.21-23 :
« Tout est à vous, soit Paul, soit Apollos, soit Céphas, soit le monde, soit la vie, soit la mort, soit les choses présentes, soit les choses à venir. Tout est à vous ; et vous êtes à Christ, et Christ est à Dieu. »
Le monde est à nous. La vie est à nous. La mort est à nous. Ce qui veut dire selon moi : Dieu règne si suprêmement au nom de ses élus que tout ce qui nous fait face dans une vie d’obéissance et de ministère sera soumis par la main puissante de Dieu et transformé en serviteur de notre sainteté et de notre joie éternelle en Dieu.
Si Dieu est pour nous, et si Dieu est Dieu, alors il est vrai que rien ne peut triompher contre nous. Celui qui n’a pas épargné son propre Fils, mais l’a donné pour nous tous, nous accordera infailliblement et librement avec lui toutes choses – toutes choses – le monde, la vie, la mort, et Dieu lui-même.
Romains 8.32 est un ami précieux. La promesse de la grâce future de Dieu est tout simplement écrasante. Mais le fondement est le plus important : je l’ai appelé la logique du ciel. Voici un endroit où se dresser contre tous les obstacles. Dieu n’a pas épargné son propre Fils ! Par conséquent ! Par conséquent ! La logique du ciel ! Par conséquent, combien plus ne ménagera-t-il pas ses efforts pour nous donner tout ce que Christ est mort pour acheter : toutes choses, toutes bonnes et toutes mauvaises œuvrant pour notre bien !
C’est aussi sûr que la certitude qu’il aimait son Fils !
Méditation extraite de « Future Grace », p. 114 (trad. « Grâce future »).
