Théologie

En Genèse 50:20, Joseph dit à ses frères qui l’avaient trahi : «Vous aviez médité de me faire du mal : Dieu l’a changé en bien.»

Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif.

Lorsque nous nous engageons dans la vie de disciple, nous nous abandonnons à Christ dans l’union à sa mort : nous donnons nos vies à la mort.

Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.

Paul relie l’adoption dans la famille de Dieu à toute la chaîne d’actions que Dieu entreprend pour nous sauver, qui sera complétée seulement dans la gloire (Éphésiens 1.5, 11, 14).

La mortification ne connaît pas de répit. Le temps présent du verbe en français indique une action continue dans l’original.

Croire signifie demeurer en Christ (Jean 15.1-11), c’est recevoir Christ (Jean 1.12) pour vivre en lui dans une entière confiance.

Nous parlons bien de la loi divine, et non d’une forme mesquine de manipulation humaine. Pourquoi la loi de Dieu ne peut-elle pas me changer?

Puisque Dieu voit ce qu’il souhaite faire en nous et à travers nous qui sommes ses enfants, il nous expose à des niveaux différents de conviction.

Comme la Raison humaine dans l’ouvrage du poète Alexandre Pope, la loi de Dieu est un accusateur cinglant, mais un ami impuissant.