Citoyens de la Jérusalem céleste. Poème (Timothée Davi)

J’aimerai partager avec vous un poème que j’ai écrit en méditant sur
1 Corinthiens 12:13, Galates 3:28 ou encore Colossiens 3:11 et autres.

En méditant sur ces passages, je me rendais compte encore plus clairement que : il n’y a plus, ni juif, ni non-juif, ni français, ni camerounais, ni belge, ni congolais, ni québécois, ni calédonien ou autre, car nous sommes tous un en Jésus-Christ.

Nous sommes tous nés d’en haut, de la Jérusalem céleste. Tous ayant un certificat de naissance avec «Jérusalem céleste» comme lieu de naissance (Phil 3:20-21) et «chrétien» comme nationalité (1 P 2:9) ; nous sommes «concitoyens des saints» (Eph 2:19), nous ne sommes tout simplement pas de ce monde (Jean 17:16). Nous formons un peuple élu et saint en route vers notre patrie, la Jérusalem céleste, vivant dès lors en tant qu’ «étrangers et voyageurs sur la terre» (1 P 2:11). Pendant ce temps, nous soupirons, insatisfaits du monde et attendant avec impatience d’être conduits à notre Sauveur et à sa cité (Ro 8.23).

Voici le poème en question :

Saint, saint, saint est le Seigneur 
Qui était, qui est, qui vient 
A toi Seigneur j’appartiens
De toute mon âme et mon coeur

En toi mon identité
En toi ma citoyenneté 
Étranger sur cette terre 
En Jérusalem, ma mère
La céleste, la fière 
De tout mon coeur j’espère 
En toi mon identité 
En toi ma citoyenneté

Saint est le peuple élu
Ceux qui de tout âge ont cru
À celui-ci j’appartiens
Hier, aujourd’hui et demain