La mort n’est-elle pas une conséquence disproportionnée ? (Jean-Sébastien Morin)
Dieu avait averti l’être humain que la rébellion aurait pour conséquence la mortalité, afin d’éviter que l’humain ne fasse le mal éternellement (Genèse 3.22-24). « Car le résultat de la rébellion c’est la mort » (Romains 3.23). La mort est la limite que Dieu fixe à des créatures dont le péché consiste à vouloir devenir des dieux (Genèse 3.3,4 ; Romains 1.18-23). D’autre part, la mort instaure une limite temporelle au mal des individus empêchant ainsi, par exemple, qu’un Hitler immortel ne terrorise l’humanité pendant des siècles.
Cet article est tiré du livre : « Nous croyons en Dieu » de Jean-Sébastien Morin