Mes citations favorites tirées du livre de Pascal Denault, Le côté obscur de la vie chrétienne
Voici quelques-unes de mes citations favorites tirées du nouveau livre de Pascal Denault, Le côté obscur de la vie chrétienne.
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Êtes-vous venus au Seigneur en pensant que tous vos problèmes seraient réglés ? Vous ne vous êtes pas trompés, mais il faudra toutefois attendre la résurrection finale avant que tout soit parfait. -11
Celui qui n’a pas l’assurance de son salut se sent comme s’il était abandonné de Dieu. Il s’agit d’un terrible sentiment. Il comporte d’une part la crainte de périr éternellement loin de la face de Dieu, mais aussi cette impression désagréable de ne pas être près de Dieu et de ne pas arriver à chasser ce sombre nuage qui enveloppe l’âme. – 13
La réalité nous paraît toujours telle que nous la percevons et non comme la Parole de Dieu nous la décrit. Nous sommes plus enclins à croire nos émotions que les promesses divines. Cela est vrai non seulement lorsque nous allons mal, mais aussi lorsque nous allons bien. – 13
Nous devons traiter le péché et le diable comme nos ennemis mortels. -14
La question de la sanctification est fondamentale à la vie chrétienne normale. Une bonne compréhension de cette doctrine est essentielle pour assurer une saine marche dans le Seigneur. -14
Reconnaissons également que l’hiver, si rigoureux soit-il, est nécessaire et bénéfique pour la fertilité. John Bunyan, qui a beaucoup souffert, emprisonné à cause de sa foi durant douze ans, a connu la détresse décrite par David. Méditons sur cette phrase qu’il a écrite du fond de sa prison : « On raconte que dans certains pays des arbres poussent, mais ils ne portent aucun fruit, parce qu’il n’y a pas d’hiver. » Il est bon pour notre âme d’éprouver les détresses du Psaume 13. Nous en avons besoin pour devenir fertiles et reconnaissants. -16
Lorsque notre âme est abattue, elle trouve difficilement la force de prier. Nous espérons alors que ce mauvais état finira par passer de lui-même et que nous trouverons en nous-mêmes les ressources nécessaires pour surmonter l’épreuve qui nous fait souffrir. -17
« Il s’agit précisément du problème de ces gens déprimés. S’ils se préoccupent tellement d’eux-mêmes, c’est qu’ils ne centrent pas suffisamment leur pensée sur Christ. » Martyn Lloyd-Jones -18
Le problème concernant le manque d’assurance, la dépression spirituelle ou encore une vie infructueuse n’est pas l’absence de ressources spirituelles, mais la négligence des ressources qui sont nôtres. -18
Peut-être ne sommes-nous pas entièrement libérés de la tristesse, mais il est néanmoins nécessaire que cette joie de la foi s’élève au-dessus et mette en nos coeurs un chant de l’allégresse qui nous est promise, même si nous ne l’expérimentons pas encore maintenant. – Jean Calvin -22
Quoi qu’il en soit, une foi faible ne générera pas une grande assurance. -31
Les chrétiens qui luttent avec leur manque de foi devraient également se rappeler que leur lutte avec l’incrédulité est un signe de foi (Mc 9.24). Peut-être cela est-il évident pour la plupart, mais les non-croyants ne luttent pas avec l’incrédulité ; les chrétiens le font, cependant, parce qu’ils sont inquiets que leur foi vacille. -33
La conversion de Paul, aussi glorieuse fût-elle, n’a pas été établie comme étant la norme en matière de conversion. L’Écriture nous présente aussi la conversion de Timothée qui a été silencieuse et remontait jusqu’à l’éducation reçue dans son enfance (2 Ti 3.15). -34
Il est possible que j’ignore le jour et même l’année où je fus régénéré ; il est possible d’avoir faussement professé la foi dans le passé, mais ce que je dois chercher ce sont les fruits de la régénération dans ma vie aujourd’hui et le fruit principal est une foi continuelle envers le Fils de Dieu. -34
Ce qui compte avant tout, ce n’est pas de croire à notre propre pardon, mais de croire au Christ qui nous pardonne : de là découlera l’assurance de notre pardon. -35
Votre repentance ne vous procure pas le pardon, seule la mort du Christ le fait ; votre repentance est la manifestation de votre pardon. -36
Tout comme la foi, la repentance n’a pas besoin d’être parfaite pour être authentique. La seule chose qui doit être parfaite pour que nous soyons pardonnés c’est la rédemption que le Seigneur Jésus a accomplie en notre faveur. -36
« Un chrétien ne doit pas remettre en question sa conversion parce qu’il n’aurait pas suffisamment été terrifié ou abaissé comme d’autres […], ce qui compte ce n’est pas le degré de ton affliction, mais l’authenticité de ta guérison. » John Ball -36
L’assurance du salut est un cadeau que seul Dieu peut nous accorder et que nous ne pouvons pas produire par nous-mêmes. -37
S’il est vrai que la foi peut être assaillie par les doutes et qu’elle peut être faible ; il est également vrai que la foi peut grandir et s’affermir. Les chrétiens doivent se réjouir de cette perspective et s’encourager les uns les autres à affermir leur foi. -47
“L’acte de foi qui justifie un pécheur est distinct de la connaissance d’avoir la vie éternelle et, conséquemment, peut avoir lieu sans cette connaissance parce qu’il ne contient pas forcément cette assurance en lui-même. Thomas Goodwin -48
Il est important de ne pas confondre l’Évangile et son effet. L’Évangile n’est pas la conversion, la foi ou la vie chrétienne. -54
Ce n’est pas notre repentance qui nous sauve, mais l’oeuvre du Christ. La foi et la repentance démontrent que nous lui avons été efficacement unis et que par lui nous sommes réunis à Dieu. -58
C’est au moyen de la foi que nous possédons le salut qui est accompli en Jésus-Christ ; c’est la foi qui rattache notre âme à son ancre céleste. -60
L’ultime question de l’assurance du salut n’est pas le degré de confiance, mais la compétence du chirurgien. Mettre sa confiance dans un sauveur incompétent s’avèrera fatal, peu importe le degré de notre confiance. -62
Les oeuvres de la vie nouvelle ne nous sauvent pas, elles démontrent que nous sommes une nouvelle créature. -70
La dépression de l’âme n’est pas un péché -101
Pourquoi faut-il crier à Dieu ? Parce que nous avons cette promesse : « Quand un malheureux crie, l’Éternel entend, et il le sauve de toutes ses détresses » (Ps 34.6). -103
La chute de l’homme est à l’origine de tout ce qui est déréglé dans nos pensées et dans l’état de notre âme. -109
Toutes les maladies, qu’elles soient mentales ou physiques, sont la conséquence de l’entrée du péché dans le monde. -110
La conviction de péché peut parfois être plus grande et laisser plus d’impressions que la grâce ; cependant elle n’est pas plus grande que la grâce. Un homme ressent la douleur de son doigt plus intensément qu’il ne ressent le bien-être de son corps entier ; pourtant il sait que la douleur à un doigt n’est rien en comparaison du bienêtre du corps entier. -Thomas Adams -168
La preuve qu’une personne est née de nouveau n’est pas l’absence de péché dans sa vie, mais une repentance continuelle pour le péché qui subsiste encore en elle. -170
La sainteté n’est pas l’austérité. Être saint ne signifie pas simplement s’abstenir du mal, mais aussi pratiquer le bien. Être saint ne signifie pas se tenir loin des pécheurs, mais être rempli d’amour à la ressemblance de Christ. Être saint, c’est être consacré à Dieu, l’aimer de tout notre coeur, de toute notre pensée et de toute notre force. -203
La sanctification n’est pas contraire à la grâce de Dieu. Plus nous avançons en sainteté, plus nous dépendons de la grâce, car ce n’est que par elle que nous progressons. -203
Cet article est tiré du livre : Le côté obscur de la vie chrétienne de Pascal Denault